Le zen utilise souvent la poésie, mais elle change selon les cultures. Chaque langue et époque modifie son expression, gardant l’essence vivante et fluide.
Le chant exprime le vide, essence du Bouddha. Tout change, rien n’est figé : un message optimiste d’impermanence et de liberté.
Zazen ne renonce pas au bonheur, mais réduit la souffrance en lâchant prise, permettant une conscience plus vaste et une perception profonde de la réalité.
Rien ne m’a fait douter, mais plus tard, j’ai découvert la sagesse de mon père. La pratique est une urgence, comme si on avait le feu aux cheveux !
Respirer consciemment relie à la nature. Observer sans analyser. Le souffle et le vent s’entrelacent, créant une harmonie profonde avec la Terre.
